Coin détente

Jade : Vous me cherchez, là, pas moyen. Pour une première journée, vous faites fort, vous m'explosez deux clopes et un haut. Non, sincèrement, ej susi tentée de vous enc oller une mais je sais pas si un combat de catch dans le coin 'détente' serait de bonne augure.

*Non, j'ai déja payé pour une bagarre..*

Je n'eu pas le temps de répondre qu'elle était déja partie. Je me retournais vers Timee fronçant des sourcils. Je n'ai jamais eu autant de soucis avec un collègue depuis pas mal de temps. Je pris un instant pour finir le reste de mon café et me levais. Raahh mais ce qu'elle peut être chiante celle la!

Matt à Timee: Bon, une offensive involontaire de plus..il faut que j'aille voir ce qui se passe. A plus tard.

Je sortis ensuite de la cafétéria.

Aprés la découverte de mon bureau, une visite vers le coin détente s'impose. Je pourrais y rencontré d'autre personne, ainsi que savouré un thé.

Deux personnes s'y trouvaient déja, 1 homme et 1 femme.
Point de dialogue à mon arrivé, comme si c'était la fin d'une discution ou d'une dispute.
Bon je vais devoir brisé la glace, ce n'est pas une de mes spécialitées...

Michael: Bonjour Michael Gledmour, équipe n° 3. J'arrive peut être au mauvais moment?
j'escisse un sourire amusé, puis me dirige vers le distributeur

Michael: J'espére que le thé de cette machine à un gout sinon c'est ceinture.

Je faisais mon tour repérant l'endrois dans lequel je travaillerais. C'étais beau, propre, moderne...

*Ils sont trop dans le confort, ça endore tout ça...*

Un homme parlais il disais qu'il était dans une équipe.

Reese à Micheal: Il y a combien d'équipe ici?

Une femme, la trentaine vient d'entré dans le coin détente.
La politesse doit lui écorché la bouche parce que la elle s'en passe.
Remarque au moin elle est franche.

Michael à Reese: bonjour, apparement vue le nombre de bureau, je dirais 3 équipe dont la mienne récemment créer.
Pardon je me présente Michael Gledmour et vous ? je lui tend ma main amicalement

Il me tendait la main, le la lui serrais avec vigueure, je le regardais dans les yeux.

*Oh 3 équipe donc vu ce qu'il dis deux sont complètes... je parie que je vais tomber avec lui... Autant faire sa gentille fifille... Quelle horreur...*

Reese à Michael : Bonjour, moi c'est Reese Matheson. je viens d'arriver ici, j'ai été détachée à votre bureau par mon gouvernement...
Je suis Russe.

Je le regardais froidement.

*Allez c'est parti pour le speeche anti russe...*

Reese: Votre équipe viens d'être créée?

Un agent Russe, détaché par son gouvernement, sa doit pas être la plus bête pour avoir été muté ici ou bien la pire plaît.
Un goulag plus tôt confortable quand même.
Il y a de forte chance quel soit intégré à notre équipe, accueillons la correctement .

Michael: Oui tout à fait, nous sommes pour le moment deux.
Les seul contacts que j'ai pu avoir avoir avec la Russie, viennent des rafales de AK-47 en Afghanistan.
Autrement dit, pour moi la guerre froide fait parti de l'histoire, le terrorisme est la menace numéro un et le NCIS en est la preuve.
Ravi de rencontré des gens d'horizon différents. Ponctué d'un sourire franc

Je porta mon thé à ma bouche et en avala une gorgée.
En plus, leur thé n'est pas infecte, je me sent déjà chez moi.

Je me précipitais dans la salle de détente pour un café! Bien sur un type se tenait déjà là devant moi! J'attendais essayant de ne pas le brusquer. Argh, la patience n'est vraiment pas une de mes qualités premières.

*Allez magnes toi, j'ai pas que ça à foutre!!*

Je me rapprochais donc de la machine à café une fois que ce guignol s'en allait, faisant rentrer quelques pièces dans la fente, pour obtenir la fameux sésame. J'attendais alors quelques instants que cela se fasse.

Je prenais mon café et me dépéchais pour retourner au MTAC. Mais, en me retournant je percutais une femme qui se trouvait dérrière moi. Mais, cette fois-ci, je maîtrisais mon gobelet pour ne pas que la mésaventure avec Manders se reproduise. J'avais réussi même si je m'étais un peu emmélé les pinceaux! rattrapant le gobelet in extremis.

*Mais, c'est plus fort que vous..vous devez m'emmerder à la machine à café.*

Je me baissais pour ramasser sa monnaie qui était tombée tout de même.

Matt: Tenez votre monnaie! Vous avez de la chance, la dernière fois, j'ai été moins habile avec un gobelet dans les mains.

Je repensais à Manders avec un léger sourire. Je me demandais bien comment elle allait réagir.

Je reculais, surprise, en évitant d'un regard paniqué le gobelet plein de café.

Claire : Wow ! dis-je, par surprise.

Je lâchais ma monnaie, tentant de réagir.

Claire : Ouais, nan, c'est pas grave... J'accepte vos excuses avec joie cependant ! fis-je, en ironisant bien sûr.

Il me tendit ma monnaie que je prit cependant en souriant. Je parlais avec un léger accent français, dû à mes 8 années passées en France sûrement. Je n'avais pas l'air méchante, à vrai dire je l'avais déjà été assez dans le bureau à ce Callaway.

Oh miracle, c'est pas une Manders! Comme quoi toutes les femmes qui prennent un café au coin détente ne sont pas toutes névrosées! Puis, quelque chose retenait mon attention, comme si un détail me perturbait. On m'avait formé pour être attentif au moindre détail d'ailleurs comme l'accent..Il fallait que je ne fasse pas de zèle quand même. Mais, c'était plus fort que moi en y repensant.

Matt:Vous n'avez pas l'air du coin avec cet accent..D'ou venez vous si ce n'est pas indiscret?

Je levais alors mon gobelet, l'index levé vers lee haut.

Matt: Laissez moi, devinez...hum.. europe?

J'eus un petit sourire lorsqu'il parla de mes origines. Apparement, il était un fin... profiler, ou investigateur qui savait ?

Claire : Oui... Je suis française. annonçais-je, avant de tendre ma main pour faire des présentations plus exemplaires.

Claire : Claire Powell, Interpol.

Française? je me demandais bien ce qu'elle pouvait foutre ici. Soudain lorsqu'elle évoquait Interpol, je comprenais tout de suite. Elle a dû parler à mon patron ce qui expliquerait son état apathique de tout à l'heure.
Je me présentais ensuite, lui souriant à mon tour.

Matt: Matt West, NCIS...Française?J'étais pas loin. vous êtes ici pour cause de conférence avec le NCIS?

Je me dirigeais vers la machine, mettant quelques pieces dedans avant de commander un expresso.

Claire : Non, je... Je viens de sortir d'une discution assez peu concluante avec votre chef. Il est.. corriace, je dois l'avouer. Mais je suis sûre que j'arriverais à la faire flancher ! dis-je, fronçant un peu le nez un instant avec un petit air tout simplement craquant.

Je souriais, buvant une gorgée de mon café. Ah ce Callaway était hors norme. Je me demandais pourquoi il était comme ça d'ailleurs..Peut être que ça faisait trop longtemps qu'il est dans le métier. Je vis après son petit air craquant et déglutis tout en m'humidifiant très rapidement les lèvres.

Matt: Oh il vous faudra du temps avec Callaway...Pour faire flancher ou destabiliser un agent du NCIS, il faut vraiment être doué..lui dis-je tout en la regardant avec malice.

Claire : Hmm, vous n'avez jamais rencontré mon chef alors ! Il est dix fois pire ! confiais-je, comme un secret.

Je m'adossait à la paroi de la machine à café, étudiant avec précision les traits de mon interlocuteur.

Claire : Mais je suppose que chaque agence se bat en duel pour avoir le chef le plus tyrannique, cela doit être une preuve de compétence ! remarquais-je, avant de boire une gorgée de mon café en grimaçant.

Claire : En tout cas, vous ne pouvez pas vous vanter d’avoir la meilleure machine à café de toutes les agences ! m’exclamais-je en le taquinant.

Rigolant un peu je baissais la tête lorsqu'elle parlait de son patron avant de la relever avec le sourire.

Matt: Pire que Callaway...Je me demande comment vous faîtes pour survivre! lui dis je tout en la voyant s'adosser à la machine à café.

Matt: Oh vous savez..plus ça prend du galon, plus ça devient grognon dans les agences fédérales surtout que chacun veut sa part de gloire..

Je souriais alors tout en la regardant boire son café adossée à la machine à café et déporta son regard par la suite.

Matt: Et oui, j'espère que Callaway va la changer cette machine à café.

Je regardais ensuite ma montre me rappelant du briefing. Et merde ça devait commencer à cette heure là!!

Matt: Bon je crois que je dois y aller, j'ai un briefing...et merde. Et bien...au revoir

Je fis quelques pas avant de me retourner avec un petit sourire et de sortir une carte de La poche de ma veste, avec culot sans en faire trop.

Matt: Hum je vous laisse ma carte! Après tout, une française à Washington doit être un peu paumée..lui dis je en la regardant avec malice tout en posant une de mes mains sur la machine à café, étant juste en face d'elle.

Je pris sa carte avec un petit sourire amusé. Il croyait faire quoi là ?

Claire : Vous savez, je ne suis ici que pour une periode de 3 jours... Et si vous croyez que je me perd souvent, ce n'est pas le cas.

Je gardais néanmoins la carte, n'ayant en aucun cas l'intention de le rappeler cependant.

Claire : Si vous passez un jour à Lyon et que vous êtes perdu, par contre, n'hésitez pas... Je n'ais pas de jolie carte à vous donner, mais appelez à Interpol. fis-je, comme pour lui démontrer combien sa première remarque était idiote.

Je n'étais là que pour quelques jours et il devait s'en douter, alors c'était comme draguer dans le vide. De plus, une carte ?! Plus ringard tu meurs. Et il se baladait avec ses cartes même pour aller à la machine à café ? Woow.

Si elle croyait qu'elle allait me destabiliser maintenant. Je n'avais pas de mal à comprendre ses répliques et répondais avec sérénité.

Matt: Comme vous voulez!

Lui dis je tout en reculant avant de disparaître dans les couloirs pour me rendre au MTAC déjà en retard. Pour rien?

Saleté !
Grognai-je en débarquant telle une brute dans la salle de détente. La poignet venait d'attaquer mes poignets d'amour...n'empêche cela faisait mal !

Le pièce coula dans le fente de la machine en emettant un bruit de ferrailles abandonnée. Mes doigts donnèrent des poussées sur les boutons et le liquide noirâtre fut versé dans le gobelet blanc.

Le café toucha à peine mes lèvres qu'aussitôt je me mis à suffoquer avec une moue de dégoût. La boisson était sucrée...je détestais la café sucré !
Après avoir pesté contre la machine et jeté le gobelet, je m'écroulai sur l'espèce de canapé dans un soupir de lassitude, je n'avais même plus de monnaie.

Mon regard se perda dans le vide tandis que je réfléchissais sur le fait que je faisais tout de travers...