Couloirs/ascenseur

Thomas : Oh mais ne critique pas ! Je dis juste que nous avons tous des goûts différents.

Lin-Ly : Il ne faut pas pensé que les vivants me repoussent... Bien au contraire.
Elle a été martyrisée plus jeune ? Pensait-il avec humour en la regardant se rattraper.

Thomas : Si les vivants te repoussent alors je suis mort...hum, quel propos étrange à dire. Dit-il après "mûr" réflexion vis-à-vis de sa dernière phrase, avant de sourire en regardant Lin-Ly.

Lin-Ly : Oh pardon tu voulais de l'aide pour mettre le corps dans l'ascenseur ?
Thomas : Je préfère me débouiller seul qu'avec quelqu'un qui empirerait les choses ! Fit-il pour répondre à son air qui se voulait innocent qu'elle avait tendence à prendre souvent. Ce n'était pas désagréable pour autant !
Ils arrivèrent tous deux à l'étage des scientifiques, Thomas s'arrêta devant la morgue en stoppant le brancard.

Thomas : Je crois que nos chemins se séparent ici ! Ce mort va ma manquer ! Thomas esquissa un sourire avec de reprendre d'un ton plus sérieux : Tu veux encore de l'aide ou bien ça va aller, je te laisse faire ton boulot ?
Il se perdit dans son regard, attendant sa réponse..

Jason sortait de la salle des analyses en relisant ses quelques notes, toujours son gobelet de café à la main même si celui ci était maintenant vide. Il croisat sur son chemin deux légistes, enfin il présuma que c'était deux légistes vu qu'ils s'occupaient d'un mort ; Jason les salua d'un signe de tête et d'un bonjour rapide tout en continuant son chemin en direction de l'ascenseur sans crois Vince qui avait du prendre un autre chemin
Il appuya sur le bouton de l'étage supérieur pour aller faire part de ses conclusions aux autres agents

[HRP : C'est pas contre toi Vince mais j'aime bien faire des trucs comme ça]

Je le regardais étrangement. Tout était une histoire de mort et de vivant il faut croire... Mais bon ce n'était pas un réel problème, bien que si il était mort... Je m'arrêtais dans ma réflexion. Mais qu'est ce que j'étais en train de pensé moi ? Aucune idée. Je continu de sourire quand il se "moqua" de moi... C'est à croire que ça me faisait plaisir... Hum... C'est bien Lin-Ly maintenant tu deviens maso...

Thomas : Je crois que nos chemins se séparent ici ! Ce mort va ma manquer ! Tu veux encore de l'aide ou bien ça va aller, je te laisse faire ton boulot ?

Je regarde le mort encore une fois avant de lever mes yeux vers Thomas.

Lin-Ly : Mais tu sais... Je ne mets pas 300 ans à découper un mort... Et n'oubli pas que tu me dois un verre ! Donc tu ne te débarrasseras pas de moi bien longtemps... Sinon si tu veux travaillé a ma place je n'ai rien contre... Mais je doute que tu survive bien longtemps, rien que le découper, je fis une grimace, non tu es bien trop sensible pour ça toi !

Je lui tape un peu sur l'épaule et regarde une fois de plus le mort en faisant la moue. Sans rien dire de plus je le fis rouler jusque dans la morgue, avant de revenir.

Lin-Ly : Heu donc... Désolée, je montrais la porte de la morgue avec la main, j'avais l'impression qu'il entendait tout ce qu'on disait...

John, au même instant, sortait de l'ascenceur d'à côté bien décidé à participer à l'autopsie. Il s'approcha de la légiste, qui l'identifia comme tel puisqu'elle semblait se diriger vers la morgue; il la suivit buvant une gorgée de café avant de s'adresser à elle :

" Hey, vous êtes la légiste non, vous comptez commencer l'autopsie quand ? j'aimerais y participer"

Il avait un ton neutre mais il devait paraître un peu agréssif...

Je regardais le nouveau venu étrangement.

Lin-Ly : Heu oui je suis la légiste... Vous en avez vraiment envie ? Non parce que certaines personnes ne supportent pas de voir un mort... Mais si ca vous fait plaisir...

Je lui sourit un peu.

Thomas : Oui je suis trop sensible pour ça ! Loin de moi l'idée de charcuter un homme... Il soupira, et j'assume ! Enfin, après pourquoi pas te regarder faire un jour, au moins te voir avec le scalpel et les gants ccouverts de sang : cela valoriserait ton mythe !
Sinon, comment pourrais-je oublier que je te dois un verre... Après l'avoir charcuté si tu veux...
Thomas sourit après ses paroles ironique, avant de voir Lin-Ly partir faire rouler le mort dans la morgue et de revenir.

Lin-Ly : Heu donc... Désolée, j'avais l'impression qu'il entendait tout ce qu'on disait...
Thomas : C'est bien connu, les morts entendent tout et voient tout. Ils ont aussi une fâcheuse tendence de gâcher une douce atmosphère...

Un agent du NCIS les interrompit, Thomas se retourna pour voir l'homme qui paraissait quelque peu agressif.
Il y en a qui étaient comme ça...
Thomas : Bon, je vais vous laisser. Il vaut mieux que tu te dépêches à l'autopsier Lin-Ly, les morts ne sont plus ce qu'ils étaient, maintenant ils sont impatients !

Le scientifique esquissa un sourire malin pour Lin-Ly en jetant un coup d'oeil à l'agent, il adressa un regard d'adieu aux deux personnes et disparu dans les couloirs.

Thomas : Sinon, comment pourrais-je oublier que je te dois un verre... Après l'avoir charcuté si tu veux...

Lin-Ly : Ahh Si tu espères encore une fois que je vais te répondre oui je le veux, c'est encore raté... Même si dans le cas présent je ne suis pas contre !

Thomas : Bon, je vais vous laisser. Il vaut mieux que tu te dépêches à l'autopsier Lin-Ly, les morts ne sont plus ce qu'ils étaient, maintenant ils sont impatients !

Je regardais Thomas partir avec regret avant d'ajouter un peu plus fort.

Lin-Ly : Pas plus que certain vivants !

Je me tourne ensuite vers l'homme.

Lin-Ly à John : Bon... C'est quand vous voulez... Même si je trouve que c'est étrange de vouloir voir ça...

Bureau de Callaway


J'avais rangé mon insigne du NCIS dans ma poche mais je tenais encore à la mains l'arme que Callaway m'avais donné, donnait-il des armes à tous leurs médecins ? ( Quoique qu'aparement c'était un peu la pénurie en ce moment ) La question était : * Etait-il completement inconsient ? Me laisser une arme ? C'était comme... donner une fourchette à une poule !!!*
Perdu dans mes pensées je tentais de trouver la salle d'autopsie.
Il y avait telement de couloirs ici !!! Il parraissait impossible de pouvoir retrouver son chemin. Je ne savais même pas si j'étais bien à l'étage scientifique !!!
Cela faisait bien dix bonne minutes que je tournais quand je me décidai d'entrer dans une salle pour demander mon chemin.


Salle des analyses

Jill : "Vous travaillez depuis longtemps ici ? Enfin je veux dire, pas aujourd'hui, car ça je n'en doute pas... je veux parler en année, (ou en mois)... juste pour savoir si c'est dure de tenir le coup avec un directeur tel que Callaway !"
Thomas sentit l'inquiétude de la jeune femme et ne put contenir son sourire au coin des lèvres.
"Cela fait quelques mois que je travaille ici, en effet et ne vous inquiétez pas, on ne voit pas tant que cela Callaway qui fait trembler tout sur son passage ! " Un sourire ironique se fit plus marqué avant qu'il ne reprenne plus calmemant, toujours d'un ton rassurant. "Vous alez voir, vous allez rapidement adorer de travailler au NCIS...c'est quand même spécial et original ! Dès qu'on vous donne du travail, vous en êtes épris jusqu'au bout...enfin presque."
Les deux protgonistes n'étaient plus qu'à quelques mètres de la morgue, Thomas tendit son bras en avant afin de pousser la porte battante de gauche, la tenir et laisser passer la nouvelle.
"Nous y voilà, une belle morgue high-tech qui comporte même ses propres toilettes ! Ici, les légistes sont privilégiés...et nous, scientifiques, on l'a dans l'os !"
Il réprima une moue faussement vexée, boudeuse en haussant les sourcils et se collant le dos à la porte pour que la jeune femme puisse passer.
L'homme balaya la salle du regard, en effet bien amménagé, mais qui n'inspirait que très peu confiance à ce pauvre scientifique...

"Je vous souhaite bon courage alors...je pense que votre travail va vous être apporté sur un "plateau d'argent" par les agents...
J'étais ravi d'avoir pu vous aidé !"

Jill : " J'ai retrouvé le labo toute seule ! Malheureusement je crois que ça serait trop me demander maintenant de me faire trouver seule le rez-de-chaussée... je vous suis ? "

Il acquiesça d'un sourire récréé, avant d'aller poser ses lunettes et ses gants sur la table, mettre son travail en cours sous hote et rejoindre Jill vers la porte, déboutonnant sa blouse, au col maladroitement relevé, en même temps. Thomas laissa passer Jill en premier et referma la porte du labo derrière lui. Ainsi, dansles couloirs, ils marchèrent jusqu'à l'ascenseur.
"Je vous conseille de retenir un minimum le trajet, enfin du moins des panneaux ou autres, au cas où on vous appelle expressement au rez-de-chaussée, ou encore si vous voulez sortir du NCIS et rentrer chez vous un jour !"
Souffla-t-il sur un ton taquin alors que les portes de l'ascenseur s'ouvraient devant eux. Une fois rentrés, Thomas décida de faire plus amples connaissances avec la jeune femme, regardant sans y prêter vraiment attention les lumières sintiller à chaque étage franchis, le regard un peu perdu mais les oreilles attentives.
"Sinon, que faisiez-vous avant arriver au NCIS ? Vous avez toujours travailler pour des agences gouvernementales ou peut-être que c'est votre premier vrai travail au sein d'une agence ?"

Thomas : "Sinon, que faisiez-vous avant arriver au NCIS ? Vous avez toujours travaillé pour des agences gouvernementales ou peut-être que c'est votre premier vrai travail au sein d'une agence ?" Me demanda-t-il, étrangement absorbé par les petites lumières de l'ascenseur.

Jill : "Non c'est la première fois que je travaille pour une agence, à vrai dire je suis tout juste diplômée et je n'ai travaillé qu'en hôpital. Je n'étais pas très décidée à ouvrir mon cabinet de généraliste et les places de légiste en France se font rares..." *Alors qu'aux Etats-Unis...* Me retenais-je d'ajouter, de peur que cela soit mal prit. Je restai un instant pensive les yeux rivés sur mes chaussures, repensant à l'autre raison qui m'avais poussé à partir si loin. Alors que j'allais une fois de plus me perde dans les méandres de mes pensées je me repris sévèrement en moi-même et une petite voix intérieure me cria que de ne rien dire de plus après que quelqu'un est engagé la conversation par une question s'avérait tout à fait malpolie, je me précipitai donc pour ajouter sur le ton de la plaisanterie :
" Au faite, s'ils nous laissent sortir d'ici parfois, vous devriez peut-être me faire un plan ! " Sur ces mots les portes de l'ascenseur s'ouvrirent.