L'ascenseur

(Dans la catégorie, les messages qui changent la vie)

Il appuya sur le bouton qui correspondait au bureau. Quelques secondes plus tard, les portes s'ouvrirent.

Jin entra dans l'ascenseur, il appuya sur le bouton du 3ième étages. Les portes se fermèrent et l'ascenseur monta jusqu'au 3ième

Bureau

Jim avait accepté lui aussi d'aller boire un verre. J'arrivais à l'ascenseur et j'appuyais sur le bouton pour l'apeller, en attendant les autres. J'ouvrais mon sac pour y récupérer mes lunettes.Mais ou sont elles encore?

Vaness à Jim et Alex: Alors messieurs, vous aimeriez aller ou? Un endroit en particulier?

Pas spécialment. On se fait une virer en ville puis je vous propose de venir boire un verre chez moi, qu'en dites vous ?

Vaness à Alex: Je suis partante pour ce programme .

L'ascenseur arrivait et j'y entrais n'attendant pas leurs réponses

chez moi

Jin arrivait devant l'ascenseur qui venait d'arriver, il entendit Alexandre parler de faire un tour puis d'aller boire un coup chez lui

Jin a Alex et Vanessa:"J'ai pas vraiment d'endroit préferer donc je suis aprtant pour l'idée d'Alexandre."

Jin entra dans l'ascenseur avec les autres

Chez Alexandre

Je sourie faussement à la vue du cadavre. Ouais une table privée avec ce monsieur, qui était loin d'être a mon goût même vivant ! J'essayé de paraître sûre de moi, mais plus je regardais ce mort, moins j'avais d'enthousiasme a l'idée de le charcuté.

Thomas : Décidement, je ne comprend pas comment vous pouvez excercer un tel métier... cela doit être joyeux et "vivant".

Je le regardais et commencé a douté de la joie que pouvais me procuré ce métier...

Lin-Ly : A vrai dire... Il ne faut pas faire grand chose de sa vie... Plus votre vie est insignifiante, moins vous aurez de mal a charcuté les gens ! C'est d'une logique... Enfin c'est ma logique... Après vous pouvez aussi vous dire que vous faite cela pour eux... Bref il y a un tas de moyen pour supporter ce boulot ! Ça dépend de la personne.

Et voilà que je repartais dans des explications sans fin... Bah ! Malheur. Je rentrais dans l’ascenseur.

Lin-Ly : Il ne faut pas pensé que les vivant me repoussent... Bien au contraire.

Je le regarde bien dans les yeux avec un petit sourie en coin.

Lin-Ly : Oh pardon tu voulais de l'aide pour mettre le corps dans l'ascenseur ?

Je le regarde avec un petit air innocent.

[ MJ : Alors que Lin-Ly et Thomas discutent en tout tranquillité, ils entendent un bruit étrange... le mort se réveille !!!!!

Non je rigole, ok ça c'était nul mais on a bien le droit de sortir des conneries des fois ]

Thomas la regarda s'exciter sur le pauvre bouton de l'ascenceur. Il haussa les épaules, se demandant si c'était vraiment une bonne idée de lui avoir proposer un café...Ce moment allait plus être un calvers à s'en ramasser plein la face qu'autre chose.

Il rentra dans l'ascenceur à la suite de la jeune femme et vint se caler à côté d'elle, adossé au mur, les mains dans les poches, le regard posé sur un point invisible de la porte. Un long soupir s'échappa de la bouche de l'homme. Alors qu'ils venaient à peine de descendre d'un étage, il ressentit la chaleur du corps féminin frôler son épaule. Thomas esseya de garder sa séreinité et se mit alors à la provoquer avec des paroles moqueuses :

Vous fuyez vos responsabilités... Vous allez manquer à vos pauvres associés, les pauvres, ils vont être furstrés. Fit-il en gardant ce calme invoquant les paires claques.
Thomas tourna finalement son regard vers la jeune femme et remarquait instantannément les yeux qu'elle posait sur lui. Il sentit des frissons le parcourir le corps mais le cachait extérieurement pour garder toute sa virilité. Il ne comprennait pas la réelle signification de ce regard mystérieux mais il ne resta en aucun cas indifférent. L'inconnue restait si silencieuse...

Cet échange de regards profonds dura quelques secondes, quelques secondes sans fin. Elle dévia son regard. C'est alors que l'homme eut une idée pour la contrarier encore plus qu'elle ne l'était -décidémment, il aimait vraiment cela- ; son corps imposant se redressa et se plaça devant celui de la jeune femme, cinquante centimètres les séparant.
Son regard malicieux se plongea dans le sien avec défi, comme s'il venait d'être véxé.
Vous voulez en arriver où avec ce regard ? Vous voulez me faire peur ? Vous voulez que je fuis votre regard pour que vous vous sentiez supérieure à ce bellâtre qui vous fait face ? S'exprima-t-il sur un ton de provocation, n'employant pas encore sa voix d'un grain enrouée...
Wow, il se surprit à prévoir un plan de drague...mais d'un côté, pouvait-il vraiment éviter cela ? Une jeune femme -inconnue- brune ténébreuse et séduisante, et certes antipathique, ne faisait que de l'enivrer de désirs rien que par son regard menaçant et mystérieux...

Thomas retourna son visage afin de voir combien d'étages il lui restait pour : soit se ramasser une claque, soit résister à une tentation qui le poussait... Non, il allait la faire céder, elle...

Ses mains à la fois puissantes et douces vinrent entourer la rampe longeant les parois de l'ascenceur, se plaçant de part et d'autres du corps de la jeune femme. Thomas résista incoyablement pour ne pas avoir la moindre faiblesse dans son sourire et dans son regard quand il sentit son doux parfum se faire plus fort. Il la fixait continuellement avec défi.

Oh, mais qui de nous deux arrivera à garder ce fameux regard supérieur le plus longtemps ?
On pouvait sentir dans sa voix comme un brin de vexation, or, ce n'était en fait qu'un rôle qu'il jouait pour se rapprocher d'elle...

Thomas : Vous fuyez vos responsabilités... Vous allez manquer à vos pauvres associés, les pauvres, ils vont être furstrés.
Je croisai les bras et levai les yeux au ciel, oh vraiment merci de me rappeler que j'étais en tort ! S'il voulait me draguer, c'était vraiment la meilleure des solutions...Après s'il comptait me taper sur les nerfs, c'était réussi évidemment !

Je le regardai alors qu'il venait se placer juste devant moi, le laissant poursuivre son discours en fronçant les sourcils. C'est vraiment ce qu'il croyait ? Que j'essayais de le faire fuir pour ne pas avoir à assumer qu'il me fasse de l'effet ? Peut-être bien, peut-être qu'au fond il avait raison...Mais il n'allait pas gagner...Cependant le ton provacateur qu'il employait me soufflait que lui rétorquer de façon sèche ne ferait qu'accroître sa satisfaction.
Vous osez vous croire capable de voir ce qui se trame dans ma tête ? Vous ne savez rien de moi, d'accord ? Alors ne faîtes-pas comme si c'était le cas...
J'avais parler sur un ton calme, mais légèrement réprobateur tout de même, le regardant avec ce petit air supérieur qui m'allait si bien. Je pesais mes mots, je pensais chacun d'eux...

Il mit ses mains de chaque côté de moi, s'approchant plus, très proche, trop proche. Je perdis mon incroyable assurance en une fraction de seconde, mon regard se fit plus désespéré, j'avais besoin de son contact, maintenant. J'ancrai mes yeux aux siens, comme voulant lui communiquer mon envie. Je sentais le désir me gagner davantage à chaque seconde, d'accord, je ne résistais plus, c'était au dessus de mes forces...Mes mains vinrent se poser sur les joues de l'homme, l'attirant inévitablement vers moi dans un geste brusque. Mes lèvres s'écrasèrent sur les siennes, l'embrassant avec ardeur. Je n'attendais pas d'ailleurs qu'il se remette de sa surprise, venant coller ma poitrine contre son torse, mon bassin au sien...J'avais cette étourdissante sensation de contentement, pardonne-moi, oui, peut-être était-ce cela dont j'avais besoin...

Bien, si ça vous fait plaisir, je ne sais rien sur vous...
Rétorqua-t-il sardoniquement, toujours avec ce regard de provocation.
Bien qu'il voulait la faire céder d'un côté, il ne s'y attendait pas réellement ou du moins si rapidement... Puis, il ne pensait pas succomber à son tour à la tentation, ressentir le désir l'envahir, notamment quand leur regard fusionnèrent pour ne former qu'une seule et unique machine à désirs.

Thomas fut attiré en avant et l'inconnue se mit à l'embrasser à pleine bouche. Il s'apprêta alors à la repousser et sourire moqueusement de plus belles, mais n'y parvint pas... La jeune femme n'avait fait que combler le désir qui avait créé ce jeu auquel l'homme s'adonnait depuis la salle de détente.

Il eut l'agréable et envoutante sensation de la poitrine -à la fois douce et brutale- de l'ex-énervée se coller contre son torse bombé par l'apnée des baisers passionnés... [tout en rime ^^]
Le bassin féminin était si proche du sien que le désir de l'avoir encore plus près enflammait ses sens. Les mains de Thomas commencèrent à abandonner tout contrôle, s'apprêtant à venir caresser avec exaltation ce bassin si affriolant, mais un "bip" rententit et coupa l'action facteur de sa soif d'amour physique...
Non, il n'eut pas le temps de répondre à son baiser, il n'eut pas le temps de poser ses mains chaudes sur son bassin, et il n'eut pas le temps de la plaquer au mur et ce, comme il aurait aimé le faire. En bref, même si le désir l'avait autant transporté que l'inconnue, cette dernière n'aurait pu savoir s'il avait été consentant...

Il fallait le dire si l'évocation de vos chers camarades de réunion vous faisait cet effet, je me serais tu.
S'exprima-t-il, en éloignant sa bouche de la sienne alors que les portes de l'ascenceur allait s'ouvrir, le regard faussement choqué, un sourire bien trop prétencieux et non crédible qui le trahissait en réalité...

Son regard continuait à percer celui de la brune mais intérieurement Thomas s'égarait dans le "fantasme". Il désirait tant reprendre son activité qu'il n'avait d'ailleurs jamais commencé, il aurait fallu rien qu'une seconde de plus pour qu'elle se sente soutenue par la réciprocité du désir.

Sa convoitise était tellement loin de l'assouvissement... Ce corps chaud et enfièvrant compliquait tant sa résistance...
L'homme sortit de l'ascenceur dès que les portes furent entièrement ouvertes, mains dans les poches, sevré malgré l'apparence béate.
D'ailleurs, est-ce que le café tenait toujours après cette scène ? Si la jeune femme traçait furieusement devant lui : sûrement pas !
Erf, il aurait dû être moins stupide à sa réflexion orale...mais cela ne l'aurait que satisfaite voire dégouter... ?

Je m'étais totalement perdu dans ce baiser, ayant juste l'envie d'oublier que c'était un parfait inconnu, j'aurais juste voulu qu'il pose ses mains sur moi et qu'il ressente le désir qui papillonnait toujours dans mon bas-ventre. Mais le destin en avait voulu autrement, je n'avais pas vu le temps passé finalement.

Thomas : Il fallait le dire si l'évocation de vos chers camarades de réunion vous faisait cet effet, je me serais tu.
Je n'aurais pas été jusqu'à dire que cela cassait tout l'ambiance, mais presque...Cependant je me devais de garder la tête haute, après tout, c'est lui qui m'avait cherché au départ ! J'assumai pleinement mon action, affichant un sourire en coin supérieur et l'air de dire "je vous crois" d'une manière très ironique.
Vous n'abandonnez jamais pas vrai ?
Mon sourire s'élargit un peu plus, mais très provocateur, comme si je cherchais à le déstabiliser alors qu'au fond, c'était bien moi qui l'était.
Peut-être m'étais-je trompée, il n'avait rien fait pour me faire comprendre qu'il souhaitait la même chose...

Les portes s'ouvrirent enfin, il sortit nonchalemment les mains dans les poches. Comment réagir à présent ? Devais-je continuer sur ma lancée, faire comme si rien ne s'était passé, ou tout simplement fuir ? J'étais bien tentée par la dernière solution, mais c'était bien choisir la facilité. Et j'aimais les défis non ? Ce jeune homme m'en présentait un sur un plateau.

Je sortis alors à mon tour de l'ascenseur, je me calmerai dans deux minutes, mais il ne s'en sortirait pas si facilement, pas encore...Je posai mes mains sur son dos, comme si j'aspirais à planter mes griffes dans sa peau dorsal à travers sa chemise. Je me mis légèrement sur la pointe des pieds pour aller caresser sa nuque de mon souffle.
On lance les paris ? Vous croyez pouvoir tenir combien de temps ?..., lui chuchotai-je alors à l'oreille.
Je fis doucement descendre mes doigts le long de son dos, comme pour le marquer d'une griffure invisible, mais il la sentirait, ça j'en étais persuadée.

Je me reculai, le contournant pour avancer plus vers l'extérieur. Nous arrivions sur le parking, et comment allions-nous nous rendre en ville au juste ? Sûrement voudra-t-il prendre sa voiture...Je marchai quelques secondes à reculons pour observer sa réaction, puis me retournai pour voir où je mettais les pieds. En effet, il serait fâcheux que je me prenne quelque chose, cela ferait disparaître toute ma crédibilité. Mon sourire persistait, je m'amusais beaucoup, oui, vraiment beaucoup...

Les yeux du scientifique se refermèrent douloureusement comme frapper par la séduction, ce à cause de l'attaque de la jeune femme...attractive. Le souffle féminin transforma la peau de sa nuque en chair de poule, redresseant le duvet qui la couvrait.

Helena : On lance les paris ? Vous croyez pouvoir tenir combien de temps ?...
*Même pas cinq secondes !*
Hurlait-il intérieurement. Thomas aurait voulu se retourner et s'emparer d'elle avant que ses talons ne retombent agilement sur le sol...mais il se mordit la langue pour ne rien faire.
Ok, le défi était concrêtement lancé, il allait résister...

Largement assez pour vous faire souffrir de désirs... Rétorqua-t-il alors que son sourire habituel se reformait sur ses lèvres. L'inconnue, de son côté, le contourna, passa devant lui en marchant à reculons. Il la suivit du regard identique à celui qu'elle lui lançait. Elle lui tourna le dos et continua sa démarche aguichante.

...ou peut-être pas !
Non, non, il allait résister, ce type de femmes n'était son genre...trop changeante ! D'un côté trop stressée-énervée-froide, d'un autre côté trop séductrice... Mouais, c'est ce qu'il se disait aussi, après, ce n'était pas forcément la vérité. Cependant, il savait qu'il pouvait encore user de ses charmes qu'elle n'avait pas encore vraiment découvert...

Ah, au fait, je n'ai pas de voiture, nous allons devoir prendre les transports en communs... Lança-t-il d'une manière tout à fait naturelle après cette scène, comme si de rien était...

Les deux protagonistes sortirent enfin du NCIS et s'engouffrèrent dans une bouche de métro...

[ Etages scientifiques]

Jill : "Non c'est la première fois que je travaille pour une agence, à vrai dire je suis tout juste diplômée et je n'ai travaillé qu'en hôpital. Je n'étais pas très décidée à ouvrir mon cabinet de généraliste et les places de légiste en France se font rares..."

Les sourcils de Thomas se haussèrent involontairement, comme si la clé d'une énigme venait de lui être dévoilée : elle était française, ce qui explicait son accent très léger qu'il avait deviner sans vraiment le remarquer.
Voilà, c'était fait, il en savait à présent bien plus sur Jill que sur Helena alors qu'il n'avait passé que peu de temps avec elle. Au moins, c'est ce qu'il espérait au fond de lui, en apprendre plus sur ses collègues du NCIS et ne pas se limiter à des relations professionnelles ennuyeuses à souhaits !
Thomas : Et vous avez probablement bien fait de venir aux Etat-Unis ! Vous devez être vraiment douée pour être directement coincé dans les filets du NCIS si...hum...si..., je ne vais pas continuer ma phrase de peur que vous me preniez au sérieux ! S'exclama-t-il soudainement avec un grand sourire aux lèvres, laissant dévoiler ses dents et émettre un léger rire enroué.

Jim : "Au faite, s'ils nous laissent sortir d'ici parfois, vous devriez peut-être me faire un plan ! "

Les portes s'ouvrirent, il laissa Jill sortir avant d'en faire de même quasi-imédiatement.

"Bien sûr...enfin, faut-il que je connaisse moi-même le bâtiment par coeur...au pire des cas, prenez un des plans qu'il y a au-dessus des extincteurs, car entre un incendie et être séquestré au QG, je crois que la deuxième situation est...plus grave !"
Les deux protagonistes marchèrent dans le couloir du hall jusqu'à ce que Thomas s'arrête à une intersection de couloir, avec une mine songeuse.

"D'ailleurs, si je vous dis que tout les couloirs se ressemblent et qu'on s'est plantés d'intersection juste après être sortis de l'ascenseur...vous me dîtes quoi ?"
Il esquissa un sourire géné, étant habitué depuis la veille à se ramasser un soupir d'exaspération en pleine face suivit d'un regard énervé et ce grâce à Helena...Enfin, à ce moment, il était réellement rassuré de se retrouver en face de Jill..

Thomas s'apprêta alors à faire demi-tour, attendant juste un signe de constestation de la part de la jeune femme.

Thomas : "D'ailleurs, si je vous dis que tout les couloirs se ressemblent et qu'on s'est plantés d'intersection juste après être sortis de l'ascenseur...vous me dîtes quoi ?"

Je le regardai dans les yeux avec un mélange de perplexité et d'amusement, sûre de ne pas avoir bien compris... avant d'éclater d'un rire franc.

Jill : " Vous m'avez dit que ça fait combien de temps que vous travaillez ici ? " Fis-je sur un ton faussement exaspéré avant de ne pouvoir m'empêcher de rire de nouveau en le regardant.

Il semblait tellement gêné que je m'arrêtai soudainement de rire de peur qu'il ne pense que je me moquais de lui. * Première bourde * Je ne pouvais m'empêcher de penser.

" Il faut faire demi-tour donc ? " Ajoutai-je, à mon tour gênée, pour masquer ma gaffe.

Je fis donc un demi-tour sur moi-même. Me tournant la tête pour guetter la réaction de Thomas.
" Je suis sûre que vous l'avez fait exprès pour m'embrouiller ! Raillai-je. Bonne technique si vous voulez être sur que je vienne vous chercher dans votre labo dès que j'aurai besoin de rentrer chez moi !!! " Je ne pu m'empêcher de rire de nouveau.

J'étais, il faut croire, tellement soulagée que mon premier jour au NCIS se passe si bien. J'espérais réellement que tout le monde serait aussi gentil et attentionné que ce scientifique ! Sachant qu'il était toujours difficile d'arriver comme un cheveu sur la soupe et de se faire sa place sans déranger personne dans une agence où les gens sont déjà soudés.

Les yeux perdu dans le vague je repensai à son idée de me munir d'un plan au dessus des extincteurs avant de repenser à la phrase qu'il n'avait pas voulu terminer :

"Vous devriez terminer votre phrase..." dis-je un grand sourire aux lèvres mais avec une pointe de défi dans la voix, sans me préocuper du fait que je passais encore une fois du coq à l'âne et que Thomas ne lisait pas dans mes pensées et donc qu'il devait bien se demander de quoi je parlais. * Deuxième bourde* Fis-je en moi-même, atterrée, après m'en être rendu compte.